Conseil en placement
Rétrocessions
Étendue du devoir d’information permettant de fonder une renonciation au droit à la restitution
Philipp Fischer
— 28 juillet 2020
Conflits d'intérêts Conseil en placement Contrats bancaires Gestion de fortune Rétrocessions
Conseil en placement
Investisseur mal informé : quel dommage ?
Célian Hirsch
— 11 juillet 2020
Conseil en placement Contrats bancaires Responsabilité
Contrats bancaires
Conseil en placement, perte et investissements hypothétiques
Laurent Hirsch
— 26 février 2020
Conseil en placement Contrats bancaires Responsabilité
Finance durable : quo vadis ?
Hristina Stoyanova
— 6 mai 2019
L’Autorité européenne des marchés financiers a publié deux rapports finaux à l’intention de la Commission européenne portant sur l’intégration des risques et des facteurs de durabilité dans la directive MiFID II, la directive AIFM et la directive OPCVM. Le premier rapport analyse les exigences organisationnelles, la gestion des risques, les coûts et les conflits d’intérêts liés aux risques de durabilité. Le second rapport se penche davantage sur les exigences en matière de due diligence dans la sélection et la surveillance des investissements durables.
Conseil en placement Gestion de fortune Union Européenne
Conseil en placement
La preuve du dommage en cas de transactions non autorisées
Célian Hirsch
— 14 mai 2018
Conseil en placement Gestion de fortune
Produits structurés
Omission d’information sur le risque émetteur et causalité hypothétique
Nicolas Béguin
— 20 juin 2017
Conseil en placement Produits structurés Responsabilité
Responsabilité de la banque
Recommandation d’investissement dans une entité affiliée cotée
Nicolas Béguin
— 21 février 2017
Conseil en placement Responsabilité
Défauts de conformité les plus fréquents : hit parade de la SEC
Christian Bovet
— 10 février 2017
La SEC vient de publier un document où elle identifie les cinq groupes d’infractions les plus fréquemment constatées auprès d' »investment advisers ». Des exemples sont analysés, comme le fait que certains de ces « advisers » ne considèrent pas, à tort, qu’un accès en ligne est un cas de « custody ».